La sagesse de Spinoza

Philosophe hollandais d’origine juive, Spinoza continue d’être probablement le philosophe le plus puissant mais le plus difficile du collège rationaliste. Fortement influencé par Descartes et Euclide, il porte le rationalisme aux conditions logiques extrêmes, décidant de créer les concepts de tout système honnête en structure axiomatique, de manière significative comme Euclide a démontré ses théorèmes de géométrie. L’entreprise ambitieuse de Spinoza est peut-être l’une des plus grandes entreprises en réalité en vision en fait c’est une étiquette de son succès qui, dans une certaine mesure, il a été extrêmement rentable dans cette tâche. Dans l’Ethica ordine Geometrico démonstrata postée à titre posthume (L’éthique révélée dans l’achat géométrique), Spinoza définit les axiomes qu’il prend habituellement pour devenir évidents, puis encaisse, étape par étape, pour en déduire des conclusions honnêtes. Comme Descartes, il s’agit de fonder l’information sur des fondements raisonnables: sa conclusion honnête doit donc tout d’abord être lancée sur de nombreuses pensées ontologiques, métaactuelles, physiques et épistémiques. Tout cela est, par la suite, exposé dans la conception géométrique. Au cœur du point de vue de Spinoza peut être le concept, tout comme celui de Parménide, selon lequel tout dans l’univers n’est qu’un. Il n’y a qu’un seul produit dont nous pouvons facilement concevoir la sous-position comme parfois le plein air ou Dieu. Ce composé a considérablement plusieurs caractéristiques mais les êtres humains, devenant finis, ne peuvent en percevoir que deux, l’extension et la croyance. Contrairement à Descartes, qui imaginait que l’esprit et le corps étaient deux sortes de choses distinctes, Spinoza soutient que le corps et l’esprit ne sont que des méthodes différentes pour concevoir un fait similaire. Cette réalité, Le plein air ou Dieu, est totalement personnelle, auto-déclenchée et suffisante. Toutes les choses dans le monde sont une composante de Notre dieu, et tout ce qui se produit est en fait une partie ou un concept essentiel de la nature divine. Le résultat du regard panthéiste serait de supprimer le libre arbitre dans le monde des actions de l’être humain. En fait, si les humains font partie du fait divin, il n’y a pas de place pour des actions causales impartiales. Spinoza est ravi de ce résumé, il ou elle est un déterministe approfondi: «… l’expérience nous apprend évidemment que les hommes se croient sans frais puisqu’ils sont attentifs à leurs mesures et inconscients dans les conduites où ces actions sont établis; de plus, il est vraiment simple que cela dicte votre cerveau soit simplement un autre nom pour les appétits qui fluctuent en fonction des différents statuts de votre physique.  » Cependant, Spinoza dispose d’une méthode pour générer une sorte d’indépendance, bien que ce soit loin de l’organisation à laquelle les philosophes sont habituellement habitués. Chaque personne, déclare Spinoza, peut être une puissance locale des traits de fait, vraiment quasi-spécifique, puisque le seul individu précis est le monde dans sa totalité. Dans la mesure où la quasi-personne est gouvernée par ses pensées intérieures, elle est non libre et à la merci d’un fini familier avec. Pour être gratuit, le patient doit, par réflexion raisonnable, être conscient de la chaîne causale étendue qui relie tout comme vous. Prendre conscience de la totalité de votre univers, c’est généralement être libéré, non pas du déterminisme causal, mais de l’ignorance du vrai extérieur. Et alors, de la méchanceté, du péché et du mal?